acwi a écrit :
(...)
Les délinquants multirécidivistes mafieux, ils ne sont pas que dans les quartiers populaire.
Re+1. Aucune pitié pour la délinquance en col blanc.
J'ai des tas de souvenirs de l'immonde période Sarko que les plus jeunes ne se rappellent sûrement pas.
Hortefeux, quoi. Les flics à la maternelle pour contrôler les papiers. Je n'oublierai jamais.
Les charters.
Le climat de délation et de constante guerre horizontale.
Et j'aime me servir de cette période "de droite normale" pour relativiser la soi-disante puanteur du FN. Qui n'aurait pas grand chose à ajouter.
Sarkozy, "la france qui se lève tôt", le karsher, la guerre en Libye, le bling-bling, "Sarkozy the american", Hortefeux, le voile, le voile, le voile.
Il aura vraiment fallu une période aussi glauque pour faire passer l'ère Hollande pour une bouffée d'oxygène.
Bouffée qui n'a pas eu lieu puisque Hollande, c'est l'ignoble Valls, Sarkozy2 : l'ère des djihadistes, l'ère où on devait manger de l'antisémitisme et de l'anti-Dieudo matin-midi-soir.
Je place néanmoins l'ère Macron en-dessous de tout, même de Sarkozy.
L'ère du traitre à la nation, l'ère de l'impunité totale, Benalla, black-à-doigt-d'honneur, du pacte de corruption d'Alstom, de la France à la découpe, l'ère de McKinsey, de Schiappa et du covidisme : l'ère où un VRP au sourire-colgate mis en place pour brader le pays peut faire croire qu'il est un président.
Jusqu'où va-t-on descendre ?
Il y a totale solidarité des racailles en col blanc et des racailles de banlieues. Les uns étant calqués sur le modèles des autres.
Basique.
Et je n'oublie jamais que dans la hiérarchie des choses, les premiers sont mes ennemis principaux.
Mais c'est quand je commence à développer sur ce sujet que je perds mon lectorat magicvillois de droite, que je rejoins Tatanka que j'avais perdu sur le sujet précédent et que je deviens un haïssable complotiste.
Pourtant tout aussi sourcé et ancré que dans le sujet précédent.
Seulement, cette conscience des priorités (économie, politique et écologie) ne m'empêche pas de constater le réel nuisible et tangible que constitue la paire "délinquance - wokisme". Et c'est là que je perds mon lectorat de gauche.